Défis passionnants pour amateurs éclairés
- Il y a diverses méthodes efficaces en aquariophilie des parosphromenus. Quiconque en a mis une au point qui lui réussit peut trouver d el’intérêt à en essayer une autre. Si elle ne réussissent pas, il pourra toujours se replier en terrain sûr.
- Même les espèces du groupe harveyi mettent à l’épreuve et imposent de considérer soigneusement ce que nous savons des exigences requises pour l’aquariophilie des parosphromenus. Les espèces les plus robustes, qui conviennent le mieux aux débutants, comme P. Filamentosus et P. Paludicola , pardonnent un peu de négligence, quoique pas au stade de la ponte et de l’éclosion. Celles là ne pardonnent rien. Ce sont des espèces à recommander à des aquariophiles ayant déjà accumulé des expériences réussies.
Les deux espèces élancées, P. Ornaticauda et P. Parvulus ont réclament des soins particulièrement experts et méticuleux. Leur élevage est la haute école en aquariophilie des parosphromenus et il n’est pas rare que des amateurs expérimentés soient mis en échec. Les pontes sont souvent réduites, entre 10 et 20 oeufs, et tendent à disparaître pendant la nuit. Néanmoins, il arrive qu’on trouve des couples qui marchent bien
- Les amateurs débutants ont intérêt à se cantonner aux méthodes extensives, qui en gnéral ne permettent pas d’élever beaucoup de poissons. Les amteurs exprimentés devraient tenter les méthodes intensives.
- La cohabitation avec d’autres espèces petites et tranquilles et certaines crevettes devrait être expérimentée par des amateurs avertis. Ceux qui accumuleront des connaissances sur ces questions poiurront comopser des associations intéressantes et instructives pour la biologie.
- La mise en place d’un aquarium de taille plus importante avec une faune diversifiée peut être une entreprise attractive pour un aquariophile expérimenté qui a déjà produit suffisamment de jeunes poissons.
(PF)